20/03/2025
Rencontre avec Yannick URRIEN, co-fondateur du journal La Baule +.
Yannick URRIEN revient pour nous sur son attachement à La Baule et la création de La Baule +, il y a 21 ans.
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Bonjour Yannick Urrien, pourriez-vous, en quelques mots, nous parler de vous et de votre parcours ?
Je suis né à Casablanca. Ma famille a vécu presque un siècle au Maroc. J’ai été rapatrié à l’âge de 15 ans, et j’ai rapidement travaillé dans les médias et la publicité parce que c’est ma passion. J’ai commencé comme animateur sur une radio parisienne, puis journaliste pour différents médias dont Le Quotidien de Paris, Entreprendre ou Le Figaro, et je me suis progressivement spécialisé dans la politique, l’international et l’économie.
Qu’est-ce qui vous a amené à créer LA BAULE + ?
Tout simplement l’envie de m’installer à La Baule. Fabienne Brasseur, travaillait dans le secteur commercial de l’imprimerie et de la sérigraphie. J’étais journaliste… Quand un restaurateur s’installe à La Baule, il crée un restaurant, quand un boulanger arrive, il ouvre une boulangerie, quand c’est un journaliste, il crée un journal ! Nous avons donc lancé La Baule+ il y a 21 ans !

Comment dériveriez-vous la ligne éditoriale de ce journal ?
Être un vrai journal, même s’il est gratuit, avec la volonté d’être toujours exigeant sur le plan intellectuel, en essayant d'apporter quelque chose de différent aux lecteurs. La ligne éditoriale est de ne pas en avoir, de surprendre et faire en sorte que chaque personne puisse apprendre quelque chose qu’il n’aura sans doute pas lu ou entendu ailleurs. Il y a toujours un mélange entre le local et le national, à travers des sujets plus intemporels, en laissant les sujets qui ont une date de péremption aux quotidiens et aux hebdomadaires.
Quel est votre attachement personnel à La Baule et quel est votre quartier préféré ?
La Baule a été pour moi un coup de cœur, dès les années 90. J’ai toujours considéré que c’était une vraie ville au bord de la mer. On dit souvent que La Baule est une ville élégante, raffinée, dynamique et sportive. C'est une ville de « bonne éducation » qui attire des gens qui lui ressemblent.
Je n’ai pas de quartier préféré. Le centre et le quartier des Oiseaux sont animés, le marché de La Baule, la gare et la plage, parfaits pour des résidents secondaires ou des personnes mobiles. Le quartier de Lajarrige est idéal pour une famille qui y réside à l’année grâce à la proximité avec toutes les commodités (commerces, lycée...). Le quartier Benoît est magique ! N’oublions pas Escoublac pour son côté village.
Enfin, que représente BARNES pour vous ?
Je me suis souvent entretenu avec Thibault de Saint-Vincent (ndlr : Président de BARNES International) pour lequel j’ai de l’admiration car c’est un entrepreneur qui a su « disrupter » le marché de l’immobilier en se positionnant sur l’excellence.
Richard Tzipine, votre vice-président, est également un habitué de La Baule. Je vais vous faire une confidence : un jour d’été, je devais l’interviewer mais il n’avait pas de disponibilité. Il m'a appelé, j'étais en Brière, l'endroit lui semblait familier et nous avons discuté longuement.
Enfin, Etienne de Gibon (ndlr : Directeur associé BARNES Nantes-Atlantique) incarne lui aussi cette élégance et cette culture générale, qui font la force du réseau BARNES.